Croque-moi, Dracula !
On vous le dit, les bécots dans le cou n’ont rien de sage, il n’y a même rien de plus érogène. Prenez le temps de couvrir de baisers la nuque de votre tendre et chère, offrande qu’elle vous tend docilement, comme pour vous dire croque-moi Dracula. C’est bestial et chavirant, le « cou » de foudre garanti !

La clavicule adore aussi être flattée
Certes la zone est quelque peu limitée. Mais ce n’est pas une raison pour ne pas s’y attarder. On ne s’en serait jamais douté, mais cet endroit, prolongement du cou, où la peau est mince et sensible déchaîne ses passions… Pour la faire grimper aux rideaux, bécotez-la délicatement, à grand renfort de baisers multiples et suçons velours.

Le ballet des caresses improvisées
En voilà des prémices excitantes qui se précisent… Vous le sentez ce désir qui irradie de vos épaules à votre cambrure ? Les mains de votre chéri, baladeuses et légères, improvisent des caresses courant le long de vos épaules dénudées, elles se font plus pressantes et pénétrantes dans votre chair, pianotant et dessinant des arabesques au creux de vos reins. Vous sentez votre sang chauffer et ces éclairs de désir qui vous foudroient ?

Zone exquise à câliner
On croirait que ces zones protégées sont reliées par un fil invisible au clitoris, tant l’excitation peut porter la femme aux nus. Elle sera d’ailleurs ravie de tomber sous les mains agiles de l’amant averti. La balade devient peu banale et sinueuse. La peau y est glabre et fine, réceptive au moindre effleurement, affolée et en extase. Ça n’a peut-être l’air de rien comme ça, mais c’est très excitant.