« TOUT EST QUESTION DE TEMPS DE CUISSON… »
« Je passais plus de temps avec Alberto en cuisine qu’ailleurs, se remémore encore le patron du parti nationaliste. J’y ai appris ­l’­osso-buco, les pâtes, les viandes », s’est remémoré le président du RN, le plus sérieusement du monde. « La cuisine italienne est populaire par excellence… La carbonara ou l’amatriciana étaient, au départ, des repas ouvriers. C’est une cuisine qui a besoin de peu d’éléments, tout est question de temps de cuisson. Une seconde de trop et c’est fichu ».

SON AMOUR POUR LA FRANCE CONSTAMMENT REVENDIQUÉ
Soucieux du moindre détail, il lui est « déjà arrivé de jeter un plat trop cuit ». Mais lorsqu’il parle de vin, Jordan Bardella a bien du mal à tourner le dos aux grandes cuvées françaises. « Le problème, c’est que, quand on est français, il est compliqué de boire autre chose », a précisé Jordan Bardella qui revendique fièrement ses « racines » ! Et à ses yeux, » faire de la politique est un moyen de rendre à la France ce qu’elle nous a donné ». C’est dit !