Les facteurs à risque du cancer du côlon
D’innombrables causes peuvent engendrer la formation du cancer du côlon. Parmi eux, certains sont inéluctables et d’autres sont relatifs à des antécédents familiaux de cancer colorectaux ou à des antécédents personnels du patient. En sus, d’autres maladies et pathologies sont aussi susceptibles d’exposer au risque de développer cette maladie. Dans certains cas, cela peut être une rectocolite hémorragique, un syndrome de Crohn, la maladie de Lynch ou de polypose adénomateuse héréditaire. Ce sont toutes des maladies héréditaires qui amplifient le risque d’endurer un cancer du côlon.

D’ailleurs, certaines causes peuvent être évitées, notamment des gestes et des habitudes malsaines. Comme rapporté par Santé Publique France, la consommation d’alcool fait partie de la liste, le tabagisme, le surpoids et l’adiposité, la sédentarité mais aussi une alimentation non équilibré qui constitue trop de viande rouge et de viandes industrielles. La carence en fibres ne fait que doubler le risque de développer un cancer du côlon.

Les symptômes d’un cancer du côlon
D’après un communiqué de l’Institut National du Cancer (INCa) en France sur son site, certains signes transmis par l’organisme devront nous alerter. Bien que les manifestations ne sont pas uniquement signes de cancer colorectal, il est vital de consulter votre médecin afin d’attester sa présence. Dans ce sens, le sujet peut endurer des signes prompts ou persistants au niveau du transit intestinal. Ces signes sont les suivants :